Saint Epique

 

     Saint Epique

Il est revenu

Vêtu d’une armure d’or

Et d’une épée cristal

Il a survécu

Au cri de l’aiguillon fort

Et a refusé le morbide bal

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Saint Epique reviens d’une Sainte famille

Ou le cousin terrasse le Dragon

Le « Frère » est équilibre incarné

Conçois volonté en une multitude de filles

Qui chacune, de la Vie ont une raison

Et parcellent ici la Vérité

Pour obtenir l’absolution

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Mais Saint Epique n’a aucune intention

De se battre ou faire couler le sang céleste

Le glaive s’il frappe par millions

Ce n’est que dans le reflet de l’âme peste

Qui se découvre et comprend son infamie

Se brise alors le peu de reste

Pour qu’enfin le divin puisse faire son lit

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Je le vois dans ses yeux

Qui rient, fuient, ou bien se moquent

Je sens son cœur empli de nœuds

Il ne sera jamais un Roi coq

Mais qu’importe Puisque c’est un Dieu

Aux yeux de son frère Héroïque

Il est un être si précieux

Aux échanges si mirifiques

Que d’aucuns ne le laisserai en un lieu

Où Sévit la Reine de Pique

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Alors la balance et le glaive se rejoignent !

Sous l’égide de notre Déesse Athéna

S’ouvre enfin le pays de Cocagne !

Point la récompense ne tardera

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Il en est mort maintes fois

Notre Frère Epique

S’est Détruit pour Nettoyer

Assaillit ses pensées obliques

De ses corps est devenu le Roi

Cet être est Saint Epique